Ceux d'entre vous qui ont lu Les mauvaises gens s'en souviennent peut-être. Ses dernières pages abordent ce phénomène étrange qui empêche un coin de la province française, celui où je suis né, d'accueillir UN lycée public pour une population de 100 000 personnes.
C'était le début des années 80. Au siècle dernier.
Depuis, les choses ont doucement -très doucement- évolué. La population est passée à 115 000 personnes et, trente ans après, on aurait pu croire que ce combat, qui n'a jamais cessé, allait aboutir.
Une lectrice ironique me demande aujourd'hui si un tome 2 des Mauvaises gens ne serait pas nécessaire. Elle m'envoie ce lien.
Non, chère Magalie, pas de suite aux Mauvaises gens. Mais si vous voulez en savoir plus sur cette histoire et sur les raisons de ce mystère, vous pouvez aller fouiller LÀ.
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