
Je vous parlais hier d'un livre mort-né. Et voilà qu'aujourd'hui me parvient ce courrier qu'aucun auteur n'aime recevoir.

Ce petit bouquin, que Joub et moi avions imaginé il y a une douzaine d'années pour nos bambins, a connu une vie difficile et ingrate. Il vient donc de rendre son dernier soupir dans l'indifférence générale.

Nous pleurons ce soir à gros bouillon. Au moins, ça va arroser les tomates.
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