jeudi 27 août 2009

Tension



Planche 56 crayonnée.
Auparavant, j'avais envisagé de propulser le story-board au delà de la soixantaine.
Petit prétentieux.
À vingt pages de la fin, le récit tend tous les fils narratifs tissés au cours des cent trente pages précédentes et devient de plus en plus difficile à modeler.

C'est pas le moment de faire le fanfaron. Finies, les grandes envolées sur dix pages.
Profil bas, je mets en place de modestes avancées que je tente ensuite de dessiner.

Elle serait rassurante, cette tension finale, si elle signifiait qu'aucun fil n'a pété en cours de route.

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