Retour d'un voyage de presse en Suisse, organisé par Évelyne Colas, infatigable attachée de presse Futuropoliste, en compagnie de Jean-Pierre Gibrat. Pendant deux jours, nous avons donc parlé de nos livres aux journalistes. Lui, de son Matteo. Moi de ma Lulu.
Pour ce qui me concerne, bien sûr c'est surtout sur le premier volume de Lulu que portèrent ces conversations. Mais, inévitablement, le second fut aussi l'objet de questions et de supputations.
Peut-être nos amis journalistes en furent-ils déçus, mais j'opposai à ces interrogations un silence têtu.
J'en profite donc pour vous prévenir également: ne comptez pas sur ce blog pour obtenir des infos sur le récit lui-même. Son objet n'est que de vous informer de l'avancement (ou des reculades) du livre.
D'ailleurs, vous l'aurez compris en lisant une note précédente, moi-même, je ne suis pas très au courant de ce qui va advenir dans ces pages (oui, bon. J'exagère un peu).
Il fallait que ce fût dit.
Pour finir, j'aimerais adresser mes sincères remerciements aux cheminots français qui, grâce à un opportun mouvement de grève, m'ont permis, lors de ce périple ferroviaire, de lire d'une traite l'excellent "Pourquoi j'ai tué mon père" de Roy Lewis.