mercredi 12 novembre 2008

Profondeur de champ

En ce moment, pas mal de gens se baladent dans le fond de mes cases. Souvent assez loin.





D'autres quidams passent parfois au premier plan. J'aime bien dessiner ces personnages qu'on ne reverra pas.




On prend une inspiration et on se lance. Un nez, un regard, une implantation capillaire. Un visage. Il (ou elle) apparaît. Ne fait que passer. Merci.
Ceux qui passent au loin sont réduits à un signe, à quelques traits. Sur la feuille, il ne s'agit que de quelques millimètres. La technique intervient peu. C'est l'instinct qui parle. Une démarche, un attitude. Ça passe ou pas.

Ci-dessus, des extraits de la planche 14.