Les discussions, qui se sont déroulées dans un climat constructif, ont permis à chacune des parties de faire valoir son point de vue.
Il a été convenu que l'auteur -au moins pour quelques jours- mettrait en veilleuse ses tonitruantes déclarations sur les avantages de l'improvisation.
De leur côté, les personnages, qui n'ont pas souhaité céder un atome de leur liberté d'action, ont accepté néanmoins de ne pas étaler sur les pages plus qu'il n'est convenable leurs états d'âme et leurs divagations .
Globalement, il a été admis qu'un récit dont l'inaction s'avère le thème central, demande une rigueur d'écriture supérieure, ce à quoi l'auteur a piteusement opposé que c'était "plus facile à dire qu'à faire "(sic).
Le travail devrait reprendre dès le début de semaine prochaine (ce week-end c'est pas possible, y'a des bûches à fendre).